Durant les dernières années du XIX-ème siècle, l’armée uruguayenne utilise pour la parade des casques de dragons métalliques à crinière rouge avec attribut frontal doré aux armes de l’État et jugulaire à écaille ainsi que des casques de uhlans de type allemand. Ensuite des morions de type argentin deviendront la coiffure de parade standard.
Dans les années 1925, l’Uruguay est un État prospère, démocratique et en paix, rien ne semble menacer ce pays que l’on décrit alors comme la Suisse de l’Amérique du sud. Montevideo entretient pour la garde des frontières une armée de volontaires de 8000 hommes correspondant à 2 divisions d’infanterie et 1 de cavalerie1. Cette armée n’utilise pas de casques de combat, seuls des casques tropicaux en liège entoilé sont portés par les officiers, depuis 1928.
Tout change avec la crise de 1929 qui frappe l’économie uruguayenne de plein fouet. La tension politique et sociale monte, la constitution démocratique de 1917 est modifiée (1934), peu après l’instauration d’un régime autoritaire sous la conduite du Président Gabriel Terra (depuis le coup d’état de mars 1933). Désormais l’heure est à une posture autoritaire et guerrière.
Dans les années 1925, l’Uruguay est un État prospère, démocratique et en paix, rien ne semble menacer ce pays que l’on décrit alors comme la Suisse de l’Amérique du sud. Montevideo entretient pour la garde des frontières une armée de volontaires de 8000 hommes correspondant à 2 divisions d’infanterie et 1 de cavalerie1. Cette armée n’utilise pas de casques de combat, seuls des casques tropicaux en liège entoilé sont portés par les officiers, depuis 1928.
Tout change avec la crise de 1929 qui frappe l’économie uruguayenne de plein fouet. La tension politique et sociale monte, la constitution démocratique de 1917 est modifiée (1934), peu après l’instauration d’un régime autoritaire sous la conduite du Président Gabriel Terra (depuis le coup d’état de mars 1933). Désormais l’heure est à une posture autoritaire et guerrière.