Le Pérou a une histoire militaire riche et ancienne. L’influence dominante est demeurée française au cours de l’essentiel du XIXème siècle et d’une grande partie de XX-ème siècle.
Pourtant, contrairement à une croyance répandue, le Pérou, comme la plupart des autres États latino-américains, a, pendant un certain temps, été réceptif à l’influence militaire allemande, après la guerre franco-prussienne de 1870. En fait, de 1872 à 1880, le régiment de cavalerie des Lanceros de Torata N°2 ainsi que le bataillon d’infanterie de ligne Pichincha N° 1, ainsi qu’au moins un bataillon d’un régiment d’artillerie, utilisèrent des Pickelhaube1.
Mais l’engouement germanophile fut de courte durée et, quelques années après, la mode revint à la tradition française. Vers les années 1890, la Garde Présidentielle péruvienne était déjà composée de dragons qui portaient un casque de cuivre de type français. Ainsi, le Pérou, qui aura été le premier État du sous-continent à adopter le style allemand, sera aussi le premier à l’abandonner!
Pourtant, contrairement à une croyance répandue, le Pérou, comme la plupart des autres États latino-américains, a, pendant un certain temps, été réceptif à l’influence militaire allemande, après la guerre franco-prussienne de 1870. En fait, de 1872 à 1880, le régiment de cavalerie des Lanceros de Torata N°2 ainsi que le bataillon d’infanterie de ligne Pichincha N° 1, ainsi qu’au moins un bataillon d’un régiment d’artillerie, utilisèrent des Pickelhaube1.
Mais l’engouement germanophile fut de courte durée et, quelques années après, la mode revint à la tradition française. Vers les années 1890, la Garde Présidentielle péruvienne était déjà composée de dragons qui portaient un casque de cuivre de type français. Ainsi, le Pérou, qui aura été le premier État du sous-continent à adopter le style allemand, sera aussi le premier à l’abandonner!